Lorsque deux molécules ont une affinité l’une pour l’autre, leur rencontre peut mener très loin… C’est en tout cas ce que prouvent les histoires des couples formés par un peptide, c’est-à-dire une « mini-protéine », et par un ion métallique. Des couples que l’on qualifie de « complexes », et pour lesquels les chercheurs de Nancy et de Strasbourg envisagent diverses applications dans le domaine de la nutrition, de la santé ou encore de l’environnement.
En complexant les métaux et en formant une cage autour d’un ion métallique, les peptides chélateurs de métaux ouvrent donc de nombreuses pistes. L’objectif visé dépend de la nature de l’ion métallique complexé. Un article de Laetitia Canabady-Rochelle (chargée de recherches CNRS à l’Université de Lorraine), Peter Faller (professeur de chimie à l’Université de Strasbourg) et Raphael Schneider (professeur de chimie à l’Université de Lorraine).
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